Le choix de ce thème ou de cette problématique vise à sensibiliser l’opinion publique et certains responsables sur des situations déplorables de quelques actes quotidiens dont souffrent les sociétés pour apporter une force de propositions et défendue non seulement leurs intérêts, mais aussi de rechercher de nouvelles solutions pour faire sortir ces sociétés de leur torpeur les plus enclavées ou touchées et surtout d’éviter les discours utopiques empreints de la langue de bois.
Une force verbale aussi qui encourage le soutien et l’appui qui émanent d’une volonté collective de réussite et qui devrait être une culture et donc un comportement. D’autre part, les médias peuvent exerce une influence sur certains jugements judiciaires par la diffusion d’une information réputée. Or, le réel devrait être doté d’un sens unique et stable voie de la transparence du langage l’ignorance de l’information sachant que sa transmission augmente la connaissance dont le lecteur dispose sur le monde qui l’entoure.
C’est un mouvement réel, extra langagier, un problème de taille qui rapporte un effet sélectionné avec un regard sur le contenue médiatique, En effet, l’information n’est pas simple, s’agit-il alors d’informer ou de désinformer ?
La mise en scène du phénomène influencera-t-elle l’explication donnée ? Le sentiment général où le langage un doit pas être confondue avec l’action, en plus de la version faite par certains agents faiblement engagés ou au contraire fortement engagés qui associent la causalité la prévisibilité l’internationalité et la justification du phénomène. C’est un grand problème de taille si on ne respecte pas une certaine déontologie qui entraîne une sorte de désinformation qui déroute ou désoriente l’opinion publique surtout qu’on a affaire actuellement à un public intelligent et bien formé et informé, et qui possède une écoute attentive, un esprit analytique et une présence active dans la réception de l’information. Et puis, ce dont on a besoin, ce n’est pas tout simplement de la lui décrie, car il est apte même d’éclairer certains propos. Pourrait-on avoir une règle universelle qui éloigne l’influence des médias sur les jugements judiciaires, qui à leur tour devraient défendre et soutenir les causes nobles en s’éloignant de toute orientations et de toute mauvaise influence.
Surtout que la nouvelle technologie annule le temps et l’espace et l’horizon temporel et spatial sont presque inexistants. Donc la pratique professionnelle met en œuvre l’objectivité et la vertu de la profession qui facilite la gestion des univers différents loin de toute manipulation ingrate pour absorber un acquis, il est indispensable d’accompagner les lecteurs, pour savoir construire leur savoir et élargir leur cercle afin d’être libres, autonomes et responsables surtout. C’est un vrai combat qui refuse toute forme de manipulations.
Henri F confirme : « On connaît le sens de la vie dans le monde de l’invisible à celui du visible » Une tâche vraiment ardue dans ce monde où le recul, dentitaire et les replis confessionnels sont très fréquents avec la montée de certaines forces qui nient le bien commun et l’innovation créative certes, les médias de l’information ont pour but d’éduquer ou d’initier à une vision globale et systématique du développement durable, cependant, il faudrait prendre en considération les interactions entre les différentes composantes et d’intégrer dans les décisions les paramètres surtout de la durabilité, une voie qui galvanise les airs mobilisateurs qui se situent dans le dépassement de soi, où s’assument l’internationalités des misères humaines, et se réveille de plus en plus engagé au service des causes justes et nobles des Droits humaines pour assurer une mission de citoyenneté, de dignité et de participation active de l’échange du dialogue fructueux
C’est toute une responsabilité et non un droit, un lien de dialogue et de rencontre et non un champ clos de luttes et d’affrontements un instrument pour répondre aux besoins de la société et non un privilège exclusif.
L’homme n’a cessé à travers l’histoire, à se rapprocher de l’homme, se transforme soudain en un combat mené par l’homme contre l’homme
– Où est donc l’homme créateur et libre ? Il est presque absent face à ce causse aux armes destructrices.
– Où est la culture de la sagesse, de l’adresse et du talent ?
– Où est l’harmonie qui nie le conflit et la division ?
Je ne m’enlace jamais à poser ce genre de questions préoccupantes afin de trouver des réponses compensatrices et convaincantes peut-être.
J’espère que ces enjeux de défis mèneront à une inclusion dans le passé, pour mieux saisir le présent et bien organier l’avenir et instaurer les principes de base du militantisme et du sacrifice dans une implication populaire et permanente fondée sur un essor mobilisateur de dépollution dans tous ses états pour une paix dans toutes ses formes.
Article produit et rédigé par :
ALAOUI Fatima-Zohra