Depuis cette fin de semaine, le port du masque est devenu une obligation.Une decision qui vient à point nommé pour mettre un terme au manque de discipline et à l’insouciance de concitoyens peu ou pas convaincus du danger COVID 19.
En decidant de faire payer les recalcitrants ou de les condamner à des peines de prison, le ministère de l’intérieur vient rappeler à tout le monde que la pandémie est toujours là, prête à frapper ici ou là. Particulièrement dans les grands centres où l’activité économique reprend lentement mais sûrement.
S’il y lieu de sanctionner ceux qui n’observent pas le port du masque ou se refusent à le faire, il faudra regarder du côté des lieux fermés, restaurants, bar- restaurants, cafés et autres lieux semblables autorisés à accueillir du public.
Desormais, nous devons intégrer la culture du port du masque, apprendre à vivre avec, car il ne faut pas perdre de vue que nous vivons avec le coronavirus depuis son apparition début / Mars 2020 au Maroc.
Vendredi 31 juillet 2020, nous célébrons la fête du sacrifice avec ses cortèges d’insalubrites qui polluent l’environnement immédiat des maisons et les quartiers d’habitations. Un rite que les pouvoirs publics devraient suivre et surveiller de près, parce que rien ne garantit que cette fête n’enregisrera pas des clusters, surtout qu’en ce moment les hausses de températures peuvent y apporter leur grain de sable.
MUSTAPHA BETTACHE
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